dimanche 24 janvier 2016

LA FAILLITE DES ETATS ET LA DESINTEGRATION L'OUROBOROS (LE SERPENT QUI SE MORD LA QUEUE)

    AFRIQUE AU SUD DU SAHARA
    LA FAILLITE DES ETATS ET LA DESINTEGRATION L'OUROBOROS (LE SERPENT QUI SE MORD LA QUEUE)
    SYMPTOMATIQUE DU SYSTEME FEODAL
En général, lorsque l'on parle de faillite, on pense immédiatement à l'économie, aux finances. Ainsi, pour le sens commun donc, la faillite signifie toujours un échec économique. La preuve en est qu'on assimile toujours le mot « faillite » à l'état d'un commerçant en cessation de paiement, et le synonyme que l'on rattache au mot « faillite » est très souvent la banqueroute. Cependant, le Dictionnaire Larousse fait la part des choses en admettant que la faillite peut concerner un autre domaine que l'économie et les finances. D'où, pour le Dictionnaire Larousse, la faillite, c'est :
  • d'une part, la « Sanction qui frappait les commerçants et dirigeants d'entreprise en état de cessation de paiements. »1
  • Et d'autre part, un « Insuccès patent de quelque chose : La faillite d'une politique ».2
Quoiqu'il en soit, l'idée selon laquelle le mot « faillite » renvoie à l'économie et aux finances est canonique. On la retrouve partout, y compris dans la faillite des États. C'est ainsi que par exemple, lorsque l'on parle de la faillite d'un État, on pense immédiatement à un État en défaut de paiement, en cessation de paiement de sa dette. On l'a vu dans le cas de la Grèce. Concernant l'Afrique, il depuis quelques années déjà, l'on parle de la faillite de ses États. Mais fort heureusement, si pour une grande partie de l'opinion, la faillite des États africains revoie au défaut de paiement de leurs dettes, une bonne partie de l'opinion dont fait partie l'UPACEB conçoit la faillite des États africains sur d'autres domaines, en dehors du domaine économique et financier. Pour s'en convaincre, l'UPACEB est allé à la recherche d'indices standards, génériques, pouvant caractériser un État en faillite. Et c'est le Premier Ministre Centrafricain S.E. M. le Premier ministre Martin ZIGUELE qui en dessine les contours. En effet, pour lui, les indicateurs de la faillite des États africains sont d'ordre social, économique, et politique. Par conséquent, parlant des indicateurs de vulnérabilités en Afrique, l'homme d’État affirme :
«Ces indicateurs de vulnérabilité sont répartis ainsi qu’il suit :
Quatre indicateurs sociaux :
1- la pression démographique ;
2- les mouvements massifs de réfugiés et de déplacés internes ;
3- les cycles de violences communautaires ;
4- et enfin l’émigration chronique et soutenue
Deux indicateurs économiques :
1-les inégalités de développement ;
2-et le déclin économique subit ou prononcé.
Six indicateurs politiques :
1-la criminalisation et la délégitimation de l’État ;
2-la détérioration graduelle des services publics ;
3- les violations généralisées des droits de l’homme ;
4- l’hégémonie de l’appareil de sécuritaire ;
5- l’émergence de factions au sein de l’élite ;
6- et enfin l’intervention d’autres puissances dans les affaires intérieures de ces États. »3
On le voit bien, avec ces indicateurs fournis par le Premier Ministre Martin ZIGUELE, la «faillite des États africains» n'est pas qu'économique et financier. Au contraire, cette faillite de nos États sont d'une très grande ampleur. Mieux, en Afrique, la Faillite des États est synonyme de Désintégration des États. En effet, dans la langue française, la Désintégration signifie «Action de désintégrer, de se désintégrer ; désagrégation : La désintégration des roches.
  • Destruction, dissolution venue de l'intérieur : La désintégration d'un parti.
Transformation du noyau d'un atome, par émission ou capture d'énergie, en un autre noyau de caractéristiques différentes. (Spontanée pour les radioéléments, la désintégration peut être provoquée, pour un noyau stable, par bombardement corpusculaire.) »4
Dans le mot « Faillite » comme dans le mot « Désintégration », il y a l'idée de Insuccès, déconfiture, marasme, débâcle, altération, destruction, dissolution, ravage, désordre, désorganisation, déprédation, ...etc, d'où, un lien inextricable entre « faillite des États » en Afrique et Désintégration africaine. En effet, en Afrique, « la faillite des États » et «la Désintégration des États et du Continent » sont deux faces d'une même médaille, car l'une ne va pas sans l'autre, au contraire, elles s'imbriquent. Il est donc impossible de parler de la faillite des États sans évoquer la désintégration des États (I) ; lesquelles sont caractéristiques du système féodal (II)
I) IMPOSSIBILITÉ DE DISSOCIER « FAILLITE DES ETATS » ET « DESINTEGRATION DES ETATS » EN AFRIQUE

L'impossibilité de dissocier «Faillite des États» et « Désintégration des États» en Afrique réside dans le fait l'une est à la fois cause et conséquence de l'autre (A), et l'autre à la fois cause et conséquence de l'une (B).

A) La Faillite des États à la fois cause et conséquence de la Désintégration des États en Afrique

La faillite des États africains nourrit gravement la Désintégration États africains, aussi bien à l'échelle nationale qu'à l'échelle continentale. Cela veut dire que si les États africains sont en faillite, c'est bien parce qu'ils sont dispersés, désintégrés. En effet, si les États africains étaient rassemblés, ils ne connaîtraient pas de dislocation, et par conséquent, ne connaîtraient pas de faillite. Mais, l'inverse aussi se justifie : à savoir que si les États africains n'étaient pas désintégrés, ils ne seraient pas en faillite. En effet, si l'on prend en compte les indicateurs de faillite relevés par le Premier Ministre Martin Ziguele, on a :
    1) au niveau social : la pression démographique ; les mouvements massifs de réfugiés et de déplacés internes ; les cycles de violences communautaires ; et enfin l’émigration chronique et soutenue
    2) Au niveau économique : les inégalités de développement ; le déclin économique subit ou prononcé.
    3) Au niveau politique : la criminalisation et la délégitimation de l’État ; la détérioration graduelle des services publics ; les violations généralisées des droits de l’homme ; l’hégémonie de l’appareil de sécuritaire ; l’émergence de factions au sein de l’élite ...
Tous ces indicateurs qui caractérisent un État en faillite, sont aussi caractéristiques d'un État en pleine déconfiture, en pleine désintégration. Et donc, si les États africains sont faillis, c'est bien parce qu'ils sont désintégrés. Cela veut dire que sans faillite des États, il n'y a pas de désintégration des États. C'est cela le cliché de l'Ouroboros, à savoir, le serpent qui se mord la queue. En effet, il y a une imbrication entre la Faillite des États et la Désintégration des États en Afrique.

B) La Désintégration des États à la fois cause et conséquence de la Faillite des États en Afrique

La démonstration précédente vaut entièrement ici. En effet, si la Faillite des États nourrit la Désintégration des États, également, la Désintégration des États africains alimente à son tour la faillite des États aussi bien à l'échelle nationale qu'à l'échelle continentale. Ce qui veut dire que sans Désintégration des États, il n'y aurait pas Faillite des États en Afrique. A ce niveau aussi, les indicateurs caractéristiques d'un État en faillite relevés par le Premier Ministre Premier Ministre Martin Ziguele maintiennent leurs effets. Ainsi, pareillement qu'un État en faillite, un État désintégré est caractérisé par :
    1) au niveau social : la pression démographique ; les mouvements massifs de réfugiés et de déplacés internes ; les cycles de violences communautaires ; et enfin l’émigration chronique et soutenue
    2) Au niveau économique : les inégalités de développement ; le déclin économique subit ou prononcé.
    3) Au niveau politique : la criminalisation et la délégitimation de l’État ; la détérioration graduelle des services publics ; les violations généralisées des droits de l’homme ; l’hégémonie de l’appareil de sécuritaire ; l’émergence de factions au sein de l’élite ...
Cela veut tout simplement dire que sans Désintégration des États, il n'y a pas de Faillite des États.
En effet, la faillite des États caractérisée par la mise à mal de l'autorité de l’État, le morcellement territorial, tribal, ethnique, juridique ;..etc., entraîne une désintégration totale des pays et par delà, du continent. Inversement, la désintégration des États à l'origine de la faillite des États compromet gravement la mise sur place dans la durée d'un pouvoir politique central, fort, pouvant résister à toute sorte de menace. Dans les deux cas, qu'il s'agisse de Faillite des États ou de Désintégration des États, les États Africains, et par-delà le continent africain présentent les les symptômes typiques d'un système féodal parmi les plus archaïques et les plus rétrogrades.

II) UN SYSTEME FEODAL TYPIQUE CARACTERISE PAR LA DESINTEGRATION ET LA FAILLITE DES ETATS AU PLAN NATIONAL ET CONTINENTAL

Avec leur désintégration et leur faillites, les pays africains révèlent l'image d'un système féodal non seulement à un niveau national (A) mais encore à un niveau continental (B)

A) La Désintégration et la Faillite des États africains, images d'un système féodal primitif

Un système féodal est facile à reconnaître. Non seulement, dans un système féodal, il n'existe pas de pouvoir central, ou alors qu'un pouvoir central existe, mais seulement de non, vu qu'il ne possède aucun de pouvoir de contrôle, de direction, de sanction sur ses administrés. Dans un système féodal, à la place des droits de l'homme fournis par la République, c'est plutôt des privilèges qui sont attribués. Dans un système féodal, en lieu et place de la justice sociale disponibles au sein d'une République, c'est plutôt l'injustice et l'arbitraire qui sont de mise. Et, à l'opposé d'une République qui offre sûreté et sécurité, considérées comme des droits naturels et imprescriptibles, dans un système féodal, c'est l'insécurité qui règne, la paix sociale étant remplacée par la violence sociale. Le système féodal, c'est véritablement une société chaotique. Telle est l'image de l'Afrique et de ses pays au 21ème siècle. Ainsi, dans une société africaine aussi confuse, désordonnée et tourmentée, à l'image des États féodaux, les fléaux consubstantiels à la féodalité sont en augmentation : proliférations des armes, recrudescence de bandes armées incontrôlables, la multiplication des agressions des coupeurs de routes qui dépouillent les voyageurs, violent les droits les plus élémentaires...etc., Dans ce cas, on ne peut pas parler d'intégration nationale en Afrique, a fortiori d'intégration continentale. En outre, on ne peut pas parler de Républiques en Afrique car la République, c'est l'ordre, c'est la discipline, avec État et des Institutions qui ont la maîtrise de leur organisation et leur fonctionnement. Au vu de la situation d'insécurité qui prévaut, les pays africains sont de réels États Féodaux. Et c'est le propre même de l’État féodal, à en croire les caractéristiques de son système : «Le monde était entré dans une nouvelle ère remplie d'énigmes et de mystères, il était dangereux de s'aventurer dans les forêts hostiles où les bandits avaient le contrôle. Les voyageurs du temps des Romains avaient disparus. La peur collective régnait partout. » 5
En Afrique, on a véritablement affaire à des États Féodaux des plus primitifs dans la mesure où, faillis, désintégrés, la gestion des États c'est-à-dire les pouvoirs politiques sont éparpillés dans les mains de diverses autorités : coutumières, lorsqu'elles sont légales, et illégales lorsque les pouvoirs politiques sont aux mains de prédateurs comme par exemple les juntes militaires, les extrémistes religieux , les séditieux...etc., agissant selon leur bon vouloir sans respect pour l'autorité central, et légal. Naturellement, cette féodalité qui affecte gravement les États ne laisse pas en reste la gestion politique du continent.

B) La gestion politique du continent africain perturbée par les relents féodaux archaïques

Au 21ème siècle, tous les peuples ont compris que c'est en insistant sur les valeurs communes, les civilisations et non sur la géographie et le territoire, que le monde vaincra la barbarie. Sauf l'Afrique noire reste attachée aux archaïsmes en privilégiant le territoire et la souveraineté. En témoigne l'organisation continentale dont elle s'est dotée : l'Union Africaine, fondée sur un critère géographique. De ce fait, l'Union Africaine s'est condamnée elle-même dans son « fief », à l'image des seigneurs féodaux dans leurs châteaux, condamnant ainsi chacun de ses États à s'enfermer dans un espèce de château fort. Car ne l'oublions pas, le système féodal, c'est aussi une affaire de terres, de fiefs, conduisant à une décentralisation du pouvoir : « Le système féodal est donc formé d'un ensemble de rapports personnels, fondés sur les aides réciproques qui organisent la société sur de nouvelles bases. Un certain rapport de force est caractéristique du système féodal. Le puissant a besoin d'hommes fidèles pour l'aider à administrer les terres et l'armée. Il y a d'autre part les moins puissants qui demandent aide et assistance, ils deviennent ainsi serviteurs du plus puissant. Mais ils pourront en outre promulguer des lois, recruter des soldats... Le système féodal est né de la faiblesse des États et de l'insécurité qu'elle engendrait. L'État fut par la suite morcelé en un grand nombre d'unités autonomes et accompagné du déplacement de la vie sociale et économique vers la campagne ainsi que vers la résidence du seigneur : le château. Le château était le centre d'un ensemble vivant pratiquement en circuit fermé. Il comprend les habitations du seigneur, des soldats, des paysans libres, des artisans, des serfs ainsi que tout ce qui était nécessaire à leur vie : les écuries, les entrepôts, les magasins, les fours, les ateliers... Dans des situations exceptionnelles telles qu'un siège, il pouvait se passer du monde extérieur. »6

De ce qui précède, il est entendu que fondé sur le repli géographique et territorial, chaque chef d’État Africain est « empereur en son royaume ». A ce titre, il n'est pas contrôlé par l'Union Africaine, est libre de faire ce qu'il veut !
Aussi, de quel sommeil l'UA était-elle réveillé ; et de quel rêve sortait-elle lorsqu'elle envisageait un corps expéditionnaire au Burundi ? C'est la question que nous nous sommes posée lorsque nous avons avons appris par voie de presse que l'UA menaçait d'intervenir au Burundi. Et cette question, nous n'étions pas les seuls à nous la poser. Un organe de presse en ligne se la posait déjà : « L'Union africaine montre ses muscles, mais peut-elle intervenir au Burundi ? »7
En effet, on croyait rêver. D'où, des remarques d'étonnement de notre part : Oh !!! Qu'est-ce qui se passe ? Une plaisanterie de mauvais goût ou un cirque pour amuser la galerie ? Mais voyons...C'est tout ? Et puis quoi encore ?
Naturellement, Pierre Nkurunziza et son gouvernement disent « niet », comme le relève bien un autre organe de presse en ligne : «Le Burundi refuse le déploiement de troupes de l’Union africaine sur son territoire » 8. Et avec raison. En effet, dans un esprit de justice, le respect des territoires nationaux et la souveraineté nationale qui sont les principes directeurs de l'Union Africaine ne doivent pas être un luxe que seuls certains États détiendraient en Afrique. Autrement dit, si le respect des territoires nationaux et la souveraineté nationale doit être de mise, qu'elle vaille pour chacun des pays, sans aucune discrimination !
Ainsi, ni la taille du pays, ni sa population, ni son PIB ne devraient être des variables discriminantes à sa souveraineté et au respect de son territoire. Et c'est çà qui est la vérité. En effet, on n'est pas un peu souverain. On peut être un peu compétent. Mais, on ne peut pas être un peu souverain. Car, la souveraineté, elle est totale, elle est entière, et elle n'est pas négociable. Donc, à l'aller comme au retour, c'est Nkunrunziza et son gouvernement qui sont la légalité. L'Union Africaine n'est pas habilitée à intervenir au Burundi. Et si elle le fait, elle outrepasse gravement ses compétences puisque, bâtie sur un critère géographique, elle est contrainte de respecter les frontières de chacun de ses États membres. Ce qui veut dire que pour agir au Burundi comme elle l'a préconisé, il faut que l'Union Africaine se réforme, en se construisant autour des valeurs et des civilisations que promeut l'Afrique, et non autour du territoire comme elle est à présent, tel que le propose l'UPACEB depuis un moment déjà.
Amis lecteurs, vous l'aurez compris, au 21ème siècle, l'Afrique tourne encore en rond, elle est désintégrée et déconstruite, féodalisme depuis ses États jusqu'au niveau continent. C'est la preuve que le gouvernement Burundais et bien d'autres gouvernements d’États africains ne se soumettent pas aux ordres de l'Union Africains. Non seulement à un niveau national, le pouvoir central de ces gouvernements sont mis à mal par des chefs de guerres, des juntes militaires, des prédateurs, des extrémistes religieux, des coupeurs de routes...etc., mais ces gouvernements eux aussi n'acceptent pas l'autorité de l'Union Africaine confinée à l'origine dans les frontières géographiques, à la ma manière des Seigneurs féodaux dans leurs châteaux.
Mais, là, où, il est manifeste que l'Afrique féodale est aux antipodes de la modernité et qu'elle est archaïque et rétrograde, c'est qu'au même moment où, le gouvernement Burundais et d'autres gouvernements africains en proie à la guerre refusent l'autorité de l’État, la Ligue Arabe décide, et intervient souverainement, et militairement, au Yémen, et partout ailleurs dans ses pays membres, là où le désordre de la guerre veut s'installer ou est installée. De même, L'Union Européenne interviendrait souverainement, et militairement, sans obstacle dans un État membre déstabilisé pour sauvegarder les institutions républicaines. Mais, le Conseil de l'Europe et l'Union Africaine ne peuvent pas intervenir souverainement dans l'un, de leurs États membres, déstabilisés. Si c'était le cas, le Conseil de l'Europe serait intervenu militairement pour arrêter le conflit en Ukraine. Et l'Union Africaine serait intervenue militairement dans tous ses pays déstabilisés pour mettre fin au cycle de la violence.
Question : pourquoi ce qui est valable pour le Ligue Arabe et l'Union Européenne n'est-il pas valable pour l'Union Africaine et le Conseil d'Europe ?
Réponse : Parce que la Ligue Arabe et l'Union Européenne sont fondées sur des valeurs communément partagées par leurs États membres. Ces valeurs défendues transcendent les frontières. Quant au Conseil de l'Europe et l'Union Africaine, ils reposent sur un critère géographique, un critère territorial, fondé sur le respect des frontières. Voilà pourquoi, le 25 novembre 2015 dernier, bien que les deux pays soient membres du Conseil de l'Europe, la Turquie a bombardé un avion Russe au motif que ce dernier aurait violé son espace aérien.

Koudoubouyé ! Kabakoyé !

Nous espérons être enfin comprise par les États et les citoyens africains. A savoir qu'il devient impérieux de mettre sur place une Organisation continentale et internationale africaine fondée sur nos valeurs et nos fondamentaux.


Yéble Martine-Blanche OGA-POUPIN
1In Larousse.fr
2In Larousse.fr
3 Intervention de S.E. M. le Premier ministre Martin ZIGUELE au 14e Forum de Bamako : « Face au constat partagé d’instabilité et de fragilité d’un grand nombre d’États africains : Que faire pour construire des États plus robustes ?
4In Larousse.fr
5In http://www.histoire-france.net/moyen/feodalite, Le système féodal , Contexte historique
6In http://www.histoire-france.net/moyen/feodalite
7http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/12/22/l-union-africaine-montre-ses-muscles-mais-peut-elle-intervenir-au-burundi_4836747_3212.html

8http://www.opex360.com/2015/12/20/le-burundi-refuse-le-deploiement-de-troupes-de-lunion-africaine-sur-son-territoire/

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