samedi 12 septembre 2015

FINANCEMENT DE L'UPACEB

FINANCEMENT DE L'UPACEB
QUI PAYERA LA FACTURE DE L'ORGANISATION ?

L'adage dit que « l'argent est le nerf de la guerre ». Cela veut dire que l'argent est incontournable dans tout projet humain, qu'il soit mineur ou de grande envergure. Surtout, en ce qui concerne les organisations ou institutions internationales comme par exemple l'UPACEB, les ressources financières qu'elles requièrent pour mener à bien leurs missions sont si considérables, leurs besoins concrets toujours si colossaux, mais en même temps obligatoires, que parfois, à défaut de rigueur et de prévoyance de leurs gestionnaires, elles peuvent connaître la faillite. Par exemple, dans la typologie des dépenses colossales et obligatoires de ces institutions ou organisations internationales du type de l'UPACEB, citons :
  • les dépenses de fonctionnement : relatives au financement des infrastructures dont elles doivent se doter comme par exemple l'immobilier qui fixe leur siège, le mobilier constituant leurs équipements, la bureautique, les véhicules de fonction,...etc.,
  • les dépenses de personnel : relatives aux ressources humaines (traitements concernant les salaires, les prestations sociales en matière de santé et d'éducation, paiement des retraites pour les agents ...etc.)
  • Les dépenses d'investissement : relatives au financement des d'ouvrages publics, aux dépenses d'avenir (allocations de bourses pour étudiants et chercheurs),...etc.

On voit bien que cette tripartition usuelle des dépenses publiques qui concerne toute personne morale de droit public n'épargnera pas le projet de l'UPACEB, s'il venait à être réalisé. C'est donc
à juste titre que celles et ceux qui en sont conscients, sont nombreux à s'inquiéter déjà, et à poser deux questions essentielles qui, en fait, sont transversales, à savoir :
  1. Qui va financer le projet de l'UPACEB ?
  2. Où on trouvera de l'argent pour financer le projet de l'UPACEB ?
Devant ces deux questions très justes, il faut d'abord rappeler l'intérêt de l'UPACEB (I), les moyens de son financement (II), les sources de son financement (III) et finalement, les conditions de financements (IV).

I) L'intérêt du Projet de l'UPACEB : Justification du financement de l'UPACEB

La mise sur place d'une Union continentale et internationale des Peuples Africains de Civilisations Ébènes basée sur les civilisations de l'Afrique au Sud du Sahara est nécessaire, elle devient urgente et impérieuse, au vu de la situation de désintégration complète, avancée, de notre continent.

Premièrement, cette Union des peuples Africains de Civilisations Ébènes est nécessaire, elle devient urgente et impérieuse parce que l'Union Africaine, dans son organisation et son fonctionnement actuels, ainsi que toutes les autres organisations sous-régionales africaines (CEDEAO, CMAC, CEA, SDEC..) sont basées sur un critère géographique.
Or, il est de notoriété que le mot «géographie» renvoie à des mots tels : « frontières, souveraineté, conflits... ».
Alors que parler de «culture», renvoie à des mots tels : «éducation, esprit, découverte, érudition, humanisme, société, fraternité, amitié... »
Effectivement, c'est en cela qu'il est maintenant unanime que l'Afrique au Sud du Sahara qui a parié sur le critère géographique, en fondant son intégration continentale et l'intégration nationale de ses pays sur ce seul critère territorial avait dès le commencement misé sur le mauvais cheval dans sa course vers son intégration. Et voilà pourquoi au 21ème siècle, cette course africaine vers l'intégration sous-régionale et continentale, l'Afrique l'a perdue. De facto. Car, dès le départ, c'est déjà au niveau de l'intégration nationale de ses pays respectifs que cette course vers l'intégration était perdue. L'intégration nationale des pays se faisant sur la base du régionalisme et du tribalisme débridés. Là-dessus, il suffit de constater les dégâts du régionalisme sur notre continent pour s'en convaincre. En outre, le critère géographique de l'intégration étant devenu invalide, l'Afrique subsaharienne a fait un autre pari : celui de la religion, espérant garantir son intégration. Or, là aussi, qu'est-ce qui se passe ?
Il se passe qu'à la place de l'intégration nationale et continentale attendue, c'est plutôt à la prédation apostolique d'un type nouveau de prophètes mus par le mensonge, le vol, l'escroquerie, le gain facile, la soif du pouvoir, le tout nourri d'excès libidinaux du côté des chrétiens d'une part ; et d'autre part, à toutes sortes de fanatismes et extrémismes semant mort et désolation, de violences inouïes et gratuites sur les populations, de graves atteintes aux droits de l'Homme et à la dignité humaine de la part d'illuminés dépouillés de toute humanité du côté musulman, que l'Afrique subsaharienne a droit.
A l'application de la théorie du bilan, le constat est triste : on a beau déplorer de nombreuses victimes de prédateurs sexuels avec leurs assauts libidinaux sur les personnes vulnérables, on a beau se plaindre de ces auteurs de prédation apostolique abusivement intitulés ministres de Dieu, on a beau décrier leurs pratiques peu catholiques d'escroquerie matérielle, financière et morale sur les biens et les personnes en détresse matérielle, morale et psychologique qu'ils abusent sans scrupule, et on a beau pleurer les morts en cascade causées par l'islamisme radical, cela ne fait pas venir l'intégration nationale des pays africain et l'intégration continentale qu'on a espérée des religions.
C'est donc à leurs dépens que les Africains peuvent conclure que le critère de l'appartenance religieuse espéré pour combler le déficit d'intégration nationale et continentale est lui aussi devenu un moyen inopérant. Et, qu'en Afrique au sud du Sahara, où, le phénomène religieux a déserté sa place initiale du privé et de l'intime, pour envahir l'espace public, segmentant la société entre croyants et incroyants, Chrétiens et Animistes, Chrétiens et Religions traditionnelles, Chrétiens et Musulmans...etc., la religion ne profite pas la collectivité, elle est plutôt un business qui enrichit les prédations morbides et irrationnelles, et alimente les illuminations primaires, mystérieuses et insolites, de type sectaire.
Entre temps, le défi de son intégration tant au niveau national que continental reste entier, total et intégral pour l'Afrique des PACEB. Là, où, le continent lui, s'émiette, se morcelle, se désagrège tantôt en naufragés de l'esprit, tantôt en regroupements territoriaux autour de seigneurs locaux régnant en maîtres absolus en vue de la perpétuation des instincts grégaires, si ce n'est carrément en seigneurs de guerre terrorisant les populations.

En définitive, si la prépondérance du critère géographique a compromis le principe de neutralité dans les fonctions publiques, la promotion du critère religieux a quant à elle fossoyé le principe de laïcité.
Devant la sombreur du tableau, le projet de l'UPACEB qui veut être fondé sur les valeurs culturelles des PACEB (Peuples Africains de Civilisations Ébènes) est pleinement justifié. En effet, il n'y a pas d'alternative. C'est çà, c'est-à-dire l'UPACEB, ou la déliquescence du continent, avec pour les PACEB, leur perte, leur désarroi.
C'est dire si le projet de l'UPACEB mérite d'exister, et d'être financé !

    II) Les moyens de financement de l'UPACEB
Distinguons le Projet de l'UPACEB, de l'UPACEB. Le Projet de l'UPACEB, c'est l'UPACEB dans sa phase théorique, pensée, conceptualisée et construite.
Quant à l'UPACEB, elle est la mise en œuvre, le déploiement, l'exécution du Projet de l'UPACEB.
L'UPACEB se fera de deux façons :
  • l'UPACEB, une Association
  • l'UPACEB, une Organisation


A) L'UPACEB, une Association

L'UPACEB en tant qu'Association obéit à deux finalités :

  1. répondre aux exigences de légalité
La location de l'amphithéâtre et la recherche des fonds pour l'organisation du colloque de septembre 2015 à Paris a rencontré de nombreux problèmes de légalité. L'UPACEB n'ayant pas statut d'une institution publique, ni d'une association culturelle Loi 1901 de la République Française, de nombreux obstacles se sont dressés, et il a été difficile de les contourner. Pour éviter les mêmes obstacles pour l'organisation du sommet d'Abidjan en Février 2016, il devient urgent que le mouvement intellectuel se transforme dans l'immédiat en association. Un appel est donc lancé, ici et maintenant, à tous celles et ceux qui veulent faire partie de cette association.
Pendant le colloque de Paris, le temps d'une pause suffira pour lancer les bases de cette association et en demander la légalisation en Préfecture par la suite. Faites parvenir vos demandes d'adhésion à l'association UPACEB à l'adresse : poupinmartine@yahoo.fr

  1. se prémunir contre le retard dans la mise en œuvre du Projet de l'UPACEB
Après le sommet d'Abidjan de février 2016 où, le projet de l'UPACEB sera remis aux chefs d’États africains pour décider de sa mise en œuvre, ce sera l'incertitude totale.
En effet, on ne peut pas prévoir d'avance ce que feront les Chefs d’États africains de ce projet. Pour éviter que ce projet soit rangé aux calendes grecques, ou tout simplement retardé dans sa mise en œuvre, il convient de prendre des dispositions, en le transformant en Association Loi 1901 de la République Française. Cela permettra d'assurer une pérennité au projet, d'organiser des actions au nom des PACEB, et d'entretenir la flamme née à l'avènement de ce projet.
Avec en plus, l'avantage qu'une telle association aura une légitimité à siéger aux sommets de l'Union Africaine pour faire entendre sa voix. En tant qu'association, l'UPACEB peut provenir de la seule volonté de citoyens des PACEB que nous sommes. Précisons que pour fonder une Association Loi 1901, il faut être au minimum au nombre de deux membres.
Une telle association est limitée dans le temps car, si du jour au lendemain, les Chefs d’États africains prenaient en compte le projet de l'UPACEB en décidant de créer cette organisation, alors, l'Association Loi 1901 de la République Française serait dissoute immédiatement.

B) L'UPACEB, une Organisation

L'UPACEB, en tant qu'Organisation Internationale, Continentale et Transcontinentale, est une Institution Politique, Économique, Culturelle et Sociale. Elle sera l'équivalente de l'Union Européenne et de la Ligue Arabe. Sa mise en œuvre relève de la compétence exclusive des Chefs d’États Africains.

Après cette distinction entre Projet de l'UPACEB, et l'UPACEB, venons-en aux moyens de financement de l'UPACEB en tant que projet, et au financement de l'UPACEB en tant qu'organisation. A ce sujet, disons que quatre moyens de financement sont possibles pour l'UPACEB comme projet, et pour l'UPACEB comme Organisation Continentale et Internationale. Ces quatre moyens de financement sont : la volonté, la l'information, la publicité et l'engagement.

a) La volonté
L'adage dit que «là, où, il y a la volonté, il y a toujours un chemin». C'est dire que si tous les PACEB (Peuples Africains de Civilisations Ébènes) le veulent, en même temps, ils le peuvent. La question aujourd'hui n'est donc pas de savoir qui financera l'UPACEB ; ni quelles sont les sources de financement de l'UPACEB. Elle est plutôt : est-ce que nous voulons nous définir comme un seul et même peuple ayant des intérêts communs, des valeurs communes, une identité commune, une destinée commune à défendre ?
Si oui, alors nous avons des choses à nous dire et à faire ensemble, et dans ce cas, l'UPACEB est fondée à exister. Par conséquent, les moyens de son fonctionnement, nous les trouverons. Coûte que coûte.
Si non, il ne sert à rien de poursuivre quoi que ce soit. Arrêtons-nous là, où, tout a commencé, et disons-nous : «à plus».
b) l'Information
L'information est un redoutable moyen de financement parce que tous les PACEB, sans exception, doivent être informés du projet de l'UPACEB. Or, les PACEB sont des peuples parlant plusieurs langues. Depuis l'Afrique continentale au sud du Sahara, jusque dans les Caraïbes, l'Amérique Latine, l'Amérique du nord, l'Europe, l'Asie, le Pacifique où, les PACEB se trouvent, il faut plusieurs langues pour les atteindre. Voilà pourquoi, chacun parmi nous, en fonction de la langue qu'il parle a un devoir d'information et devient aussitôt «Messager de l'UPACEB». Le «Messager de l'UPACEB» étant celle ou celui qui fait connaître l'UPACEB autour de lui, et au-delà de sa campagne, son village, son pays et son continent. Que chacune, chacun s'oblige à faire connaître l'UPACEB autour d'elle, autour de lui, plus loin d'elle, plus loin de lui. Par la suite, nous verrons que l'UPACEB n'aura aucun souci à se faire en matière de son financement.

c) La publicité
L'information suppose que l'on fasse la publicité. A la seule différence que la publicité vise à vendre, là, où, l'information s'arrête au simple niveau de transmission d'un message. Il ne suffit pas donc d'informer les autres au sujet de l'UPACEB, il est impératif d'en faire la publicité. La publicité consistant à vendre un bien en vantant ses mérites et ses qualités, il convient ici de présenter clairement l'intérêt que représente l'UPACEB. Notamment, l'intérêt que l'UPACEB représente pour l'intégration nationale des pays africains, l'intégration continentale africaine, l’intégration culturelle des PACEB répandus sur la terre, sur tous les continents...
Assurément, c'est par la publicité que nous convaincrons tous les PACEB et leurs alliés de l'utilité publique et de l'intérêt général dont l'UPACEB est porteuse.

d) L'engagement
Il ne suffit pas d'avoir la volonté, d'informer, et de faire la publicité. Encore, il faut s'engager. Et c'est tout le problème.
En effet, une chose est de s'engager, une autre est d'agir, de faire. On connaît des personnes qui veulent devenir membre d'une association mais qui ne font plus rien après. Or, logiquement, on est volontaire pour faire, pour agir. On n'est pas volontaire pour être spectateur.
Donc, notre engagement doit être résolu, il doit être ferme. De notre engagement à réussir, dépendront non seulement le sérieux de notre mouvement, mais aussi la constance et la régularité dans la fourniture des moyens de fonctionnement, que nous voudrons lui consacrer. Tout est lié. Et rien n'est séparé. La volonté, l'information, la publicité et l'engagement sont liés. L'un ne va jamais sans l'autre. En tout cas, pour des raisons de cohérence.

III) Les sources de financement l'UPACEB

Les sources de financement de l'UPACEB, qu'il s'agisse de l'UPACEB en tant qu'association Loi 1901 de la République Française, ou d'une Organisation Continentale, Internationale et Transcontinentale sont nombreuses et citons quelques-unes :

1) Les PACEB : Peuples Africains de Civilisations Ébènes
Répandus en Afrique, l'Asie, dans les deux Amériques (Latine et Amérique du nord), dans les Caraïbes, l'Europe, le Pacifique...etc; fixons une petite contribution égale pour tous, sans distinction de revenus, ni de ressources. Par exemple, une cotisation mensuelle de 1 Euro ou 1 Dollar américain, par personne majeure et faisons le calcul des recettes !
Quelqu'un a dit : «Mme POUPIN, ce n'est pas un compte bancaire qu'il faut dans ce cas-là mais bien une banque qu'il faut à l'UPACEB ; et je dirais même qu'une seule banque ne suffirait pas, il en faut dix pour contenir toutes ces recettes !»
1 Euro, ou 1 Dollar USD, par mois de cotisation, et par ACEB ou par allié d'ACEB, se trouvant sur toute la terre ! Jugez-en vous-mêmes !
    1. Les citoyens du Grand Triangle
Il a été dit dans un précédent article : Le Grand Triangle (Europe-Afrique-Amérique) est la première plus grande région économique au monde. Convainquons seulement chaque citoyen majeur de cet espace à s'engager pour la vie, à verser 1 Euro ou 1 Dollar UDS par mois et par personne majeure pour l'Afrique et faisons le calcul.

3) Les partenaires des PACEB
Mobilisons tous les partenaires économiques de l'Afrique Subsaharienne, ainsi que les partenaires des PACEB, en leur demandant de cotiser 1 Euro ou 1 Dollar UDS par mois et par personne majeure pour l'Afrique et faisons le calcul.

IV) Les conditions de financement

Bien entendu, qu'il s'agisse de l'UPACEB en tant qu'association, ou de l'UPACEB en tant qu'Organisation continentale internationale, voici les conditions de cotisations :
  • la majorité : les cotisations ne concerneront que les personnes légalement majeures.
  • La quotité est fixe : elle est de 1 Euro ou 1 Dollar pour les ACEB vivant hors du continent africain, et elle est de 10 FCFA pour les ACEB vivant sur le continent africain. Quiconque voudra faire davantage de don à l'UPACEB jugera de lui-même de l'augmentation qui lui conviendra. En tout cas, chacun est libre de donner plus de cotisations que ce qui est exigé.
    Les autres pays ayant une autre monnaie que l'Euro, le Dollar USD et le CFA contribuera avec la monnaie de son pays, l'équivalent de 1 Euro ou 1 Dollar USD selon qu'il est en dehors du continent africain, et l'équivalent de 10 FCFA pour les Africains en dehors de la Zone CFA en Afrique.
  • Le seul moyen de payement sera le payement par la voie électronique : chaque ACEB consentira librement au paiement de sa contribution de 1 Euro, 1 Dollar USD ou 10 FCFA par mois, selon son pays de résidence. Tous les mois, elle/il se connectera sur un ordinateur, payera directement sa cotisation de 1 Euro, 1 Dollar USD ou 10 FCFA (paiement paypal). Il pourra, s'il le souhaite payer ses 12 Euros ou 12 Dollars USD, 120FCFA de cotisations annuelles en une seule fois.
  • Paiement sur un seul compte, dans une même banque : il y aura un seul compte bancaire à la BAD (Banque Africaine de Développement). Chaque contribuable se connectera donc directement sur le compte de l'UPACEB à la BAD, pour payer sa contribution depuis l'ordinateur, depuis son lieu (domicile, pays, continent) de résidence.
TRES IMPORTANT
Après le colloque des 25 et 26 septembre 2015 à Paris sur le projet de l'UPACEB, nous procéderons à la légalisation de l'UPACEB en tant qu'association. Dès que nous recevons le récépissé de la Préfecture nous confirmant la création de l'UPACEB en tant qu'Association Loi 1901, nous envisagerons de rencontrer le nouveau président de la BAD, Monsieur Akinwumi Adesina, avant la fin de l'année 2015, pour lui expliquer le projet de l'UPACEB, nous enquérir des modalités d'ouverture d'un compte bancaire pour les contribuables de l'UPACEB. Une fois les formalités remplies, toutes les informations vous seront fournies rapidement pour que chacune, chacun commence à participer à l'opération : « Opération 1 Euro ou 1 Dollar USD ou 10 FCFA par mois, à l'UPACEB pour le développement de l'Afrique Subsaharienne et des PACEB (Peuples Africains de Civilisations Ébènes et leurs alliés ».

Il est inutile de préciser que le premier ouvrage public prioritaire de l'UPACEB en Afrique est le décloisonnement de l'Afrique au Sud du Sahara par le rattachement de tous les pays à un réseau ferroviaire de Ligne de Trains à Grande Vitesse.

Ensemble, nous vaincrons.


Yéble Martine-Blanche OGA épouse POUPIN

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