FINANCEMENT
DE L'UPACEB
QUI
PAYERA LA FACTURE DE L'ORGANISATION ?
L'adage
dit que « l'argent est le nerf de la guerre ».
Cela veut dire que l'argent est incontournable dans tout projet
humain, qu'il soit mineur ou de grande envergure. Surtout, en ce qui
concerne les organisations ou institutions internationales comme par
exemple l'UPACEB, les ressources financières qu'elles requièrent
pour mener à bien leurs missions sont si considérables, leurs
besoins concrets toujours si colossaux, mais en même temps
obligatoires, que parfois, à défaut de rigueur et de prévoyance de
leurs gestionnaires, elles peuvent connaître la faillite. Par
exemple, dans la typologie des dépenses colossales et obligatoires
de ces institutions ou organisations internationales du type de
l'UPACEB, citons :
- les dépenses de fonctionnement : relatives au financement des infrastructures dont elles doivent se doter comme par exemple l'immobilier qui fixe leur siège, le mobilier constituant leurs équipements, la bureautique, les véhicules de fonction,...etc.,
- les dépenses de personnel : relatives aux ressources humaines (traitements concernant les salaires, les prestations sociales en matière de santé et d'éducation, paiement des retraites pour les agents ...etc.)
- Les dépenses d'investissement : relatives au financement des d'ouvrages publics, aux dépenses d'avenir (allocations de bourses pour étudiants et chercheurs),...etc.
On
voit bien que cette tripartition usuelle des dépenses publiques qui
concerne toute personne morale de droit public n'épargnera pas le
projet de l'UPACEB, s'il venait à être réalisé. C'est donc
à
juste titre que celles et ceux qui en sont conscients, sont nombreux
à s'inquiéter déjà, et à poser deux questions essentielles qui,
en fait, sont transversales, à savoir :
- Qui va financer le projet de l'UPACEB ?
- Où on trouvera de l'argent pour financer le projet de l'UPACEB ?
Devant
ces deux questions très justes, il faut d'abord rappeler l'intérêt
de l'UPACEB (I), les moyens de son financement (II), les sources de
son financement (III) et finalement, les conditions de financements
(IV).
I)
L'intérêt du Projet de l'UPACEB : Justification du financement de
l'UPACEB
La
mise sur place d'une Union continentale et internationale des Peuples
Africains de Civilisations Ébènes basée sur les civilisations de
l'Afrique au Sud du Sahara est nécessaire, elle devient urgente et
impérieuse, au vu de la situation de désintégration complète,
avancée, de notre continent.
Premièrement,
cette Union des peuples Africains de Civilisations Ébènes est
nécessaire, elle devient urgente et impérieuse parce que l'Union
Africaine, dans son organisation et son fonctionnement actuels, ainsi
que toutes les autres organisations sous-régionales africaines
(CEDEAO, CMAC, CEA, SDEC..) sont basées sur un critère
géographique.
Or,
il est de notoriété que le mot «géographie» renvoie à
des mots tels : « frontières, souveraineté, conflits... ».
Alors
que parler de «culture», renvoie à des mots tels :
«éducation, esprit, découverte, érudition, humanisme, société,
fraternité, amitié... »
Effectivement,
c'est en cela qu'il est maintenant unanime que l'Afrique au Sud du
Sahara qui a parié sur le critère géographique, en fondant son
intégration continentale et l'intégration nationale de ses pays sur
ce seul critère territorial avait dès le commencement misé sur le
mauvais cheval dans sa course vers son intégration. Et voilà
pourquoi au 21ème siècle, cette course africaine vers l'intégration
sous-régionale et continentale, l'Afrique l'a perdue. De facto. Car,
dès le départ, c'est déjà au niveau de l'intégration nationale
de ses pays respectifs que cette course vers l'intégration était
perdue. L'intégration nationale des pays se faisant sur la base du
régionalisme et du tribalisme débridés. Là-dessus, il suffit de
constater les dégâts du régionalisme sur notre continent pour s'en
convaincre. En
outre, le critère géographique de l'intégration étant devenu
invalide, l'Afrique subsaharienne a fait un autre pari : celui de la
religion, espérant garantir son intégration. Or, là aussi,
qu'est-ce qui se passe ?
Il
se passe qu'à la place de l'intégration nationale et continentale
attendue, c'est plutôt à la prédation apostolique d'un type
nouveau de prophètes mus par le mensonge, le vol, l'escroquerie, le
gain facile, la soif du pouvoir, le tout nourri d'excès libidinaux
du côté des chrétiens d'une part ; et d'autre part, à toutes
sortes de fanatismes et extrémismes semant mort et désolation, de
violences inouïes et gratuites sur les populations, de graves
atteintes aux droits de l'Homme et à la dignité humaine de la part
d'illuminés dépouillés de toute humanité du côté musulman, que
l'Afrique subsaharienne a droit.
A
l'application de la théorie du bilan, le constat est triste : on a
beau déplorer de nombreuses victimes de prédateurs sexuels avec
leurs assauts libidinaux sur les personnes vulnérables, on a beau se
plaindre de ces auteurs de prédation apostolique abusivement
intitulés ministres de Dieu, on a beau décrier leurs pratiques peu
catholiques d'escroquerie matérielle, financière et morale sur les
biens et les personnes en détresse matérielle, morale et
psychologique qu'ils abusent sans scrupule, et on a beau pleurer les
morts en cascade causées par l'islamisme radical, cela ne fait pas
venir l'intégration nationale des pays africain et l'intégration
continentale qu'on a espérée des religions.
C'est
donc à leurs dépens que les Africains peuvent conclure que le
critère de l'appartenance religieuse espéré pour combler le
déficit d'intégration nationale et continentale est lui aussi
devenu un moyen inopérant. Et, qu'en Afrique au sud du Sahara, où,
le phénomène religieux a déserté sa place initiale du privé et
de l'intime, pour envahir l'espace public, segmentant la société
entre croyants et incroyants, Chrétiens et Animistes, Chrétiens et
Religions traditionnelles, Chrétiens et Musulmans...etc., la
religion ne profite pas la collectivité, elle est plutôt un
business qui enrichit les prédations morbides et irrationnelles, et
alimente les illuminations primaires, mystérieuses et insolites, de
type sectaire.
Entre
temps, le défi de son intégration tant au niveau national que
continental reste entier, total et intégral pour l'Afrique des
PACEB. Là, où, le continent lui, s'émiette, se morcelle, se
désagrège tantôt en naufragés de l'esprit, tantôt en
regroupements territoriaux autour de seigneurs locaux régnant en
maîtres absolus en vue de la perpétuation des instincts grégaires,
si ce n'est carrément en seigneurs de guerre terrorisant les
populations.
En
définitive, si la prépondérance du critère géographique a
compromis le principe de neutralité dans les fonctions publiques, la
promotion du critère religieux a quant à elle fossoyé le principe
de laïcité.
Devant
la sombreur du tableau, le projet de l'UPACEB qui veut être fondé
sur les valeurs culturelles des PACEB (Peuples Africains de
Civilisations Ébènes) est pleinement justifié. En effet, il n'y a
pas d'alternative. C'est çà, c'est-à-dire l'UPACEB, ou la
déliquescence du continent, avec pour les PACEB, leur perte, leur
désarroi.
C'est
dire si le projet de l'UPACEB mérite d'exister, et d'être financé !
II)
Les moyens de financement de l'UPACEB
Distinguons le Projet de
l'UPACEB, de l'UPACEB. Le Projet de l'UPACEB, c'est l'UPACEB dans sa
phase théorique, pensée, conceptualisée et construite.
Quant à l'UPACEB, elle
est la mise en œuvre, le déploiement, l'exécution du Projet de
l'UPACEB.
L'UPACEB se fera de deux
façons :
- l'UPACEB, une Association
- l'UPACEB, une Organisation
A)
L'UPACEB, une Association
L'UPACEB en tant
qu'Association obéit à deux finalités :
- répondre aux exigences de légalité
La location de
l'amphithéâtre et la recherche des fonds pour l'organisation du
colloque de septembre 2015 à Paris a rencontré de nombreux
problèmes de légalité. L'UPACEB n'ayant pas statut d'une
institution publique, ni d'une association culturelle Loi 1901 de la
République Française, de nombreux obstacles se sont dressés, et il
a été difficile de les contourner. Pour éviter les mêmes
obstacles pour l'organisation du sommet d'Abidjan en Février 2016,
il devient urgent que le mouvement intellectuel se transforme dans
l'immédiat en association. Un appel est donc lancé, ici et
maintenant, à tous celles et ceux qui veulent faire partie de cette
association.
Pendant le colloque de
Paris, le temps d'une pause suffira pour lancer les bases de cette
association et en demander la légalisation en Préfecture par la
suite. Faites parvenir vos demandes d'adhésion à l'association
UPACEB à l'adresse : poupinmartine@yahoo.fr
- se prémunir contre le retard dans la mise en œuvre du Projet de l'UPACEB
Après le sommet
d'Abidjan de février 2016 où, le projet de l'UPACEB sera remis aux
chefs d’États africains pour décider de sa mise en œuvre, ce
sera l'incertitude totale.
En effet, on ne peut pas
prévoir d'avance ce que feront les Chefs d’États africains de ce
projet. Pour éviter que ce projet soit rangé aux calendes grecques,
ou tout simplement retardé dans sa mise en œuvre, il convient de
prendre des dispositions, en le transformant en Association Loi 1901
de la République Française. Cela permettra d'assurer une pérennité
au projet, d'organiser des actions au nom des PACEB, et d'entretenir
la flamme née à l'avènement de ce projet.
Avec en plus, l'avantage
qu'une telle association aura une légitimité à siéger aux sommets
de l'Union Africaine pour faire entendre sa voix. En tant
qu'association, l'UPACEB peut provenir de la seule volonté de
citoyens des PACEB que nous sommes. Précisons que pour fonder une
Association Loi 1901, il faut être au minimum au nombre de deux
membres.
Une telle association est
limitée dans le temps car, si du jour au lendemain, les Chefs
d’États africains prenaient en compte le projet de l'UPACEB en
décidant de créer cette organisation, alors, l'Association Loi 1901
de la République Française serait dissoute immédiatement.
B)
L'UPACEB, une Organisation
L'UPACEB, en tant
qu'Organisation Internationale, Continentale et Transcontinentale,
est une Institution Politique, Économique, Culturelle et Sociale.
Elle sera l'équivalente de l'Union Européenne et de la Ligue Arabe.
Sa mise en œuvre relève de la compétence exclusive des Chefs
d’États Africains.
Après cette distinction
entre Projet de l'UPACEB, et l'UPACEB, venons-en aux moyens de
financement de l'UPACEB en tant que projet, et au financement de
l'UPACEB en tant qu'organisation. A ce sujet, disons que quatre
moyens de financement sont possibles pour l'UPACEB comme projet, et
pour l'UPACEB comme Organisation Continentale et Internationale. Ces
quatre moyens de financement sont : la volonté, la l'information, la
publicité et l'engagement.
a)
La volonté
L'adage dit que «là,
où, il y a la volonté, il y a toujours un chemin».
C'est dire que si tous les PACEB (Peuples
Africains de Civilisations Ébènes) le veulent, en même temps, ils
le peuvent. La question aujourd'hui n'est donc pas de
savoir qui financera l'UPACEB ; ni quelles sont les sources de
financement de l'UPACEB. Elle est plutôt : est-ce
que nous voulons nous définir comme un seul et même peuple ayant
des intérêts communs, des valeurs communes, une identité commune,
une destinée commune à défendre ?
Si
oui, alors nous avons des choses à nous dire et à faire ensemble,
et dans ce cas, l'UPACEB est fondée à exister. Par conséquent, les
moyens de son fonctionnement, nous les trouverons. Coûte que coûte.
Si
non, il ne sert à rien de poursuivre quoi que ce soit. Arrêtons-nous
là, où, tout a commencé, et disons-nous : «à plus».
b)
l'Information
L'information est un
redoutable moyen de financement parce que tous les PACEB, sans
exception, doivent être informés du projet de l'UPACEB. Or, les
PACEB sont des peuples parlant plusieurs langues. Depuis l'Afrique
continentale au sud du Sahara, jusque dans les Caraïbes, l'Amérique
Latine, l'Amérique du nord, l'Europe, l'Asie, le Pacifique où, les
PACEB se trouvent, il faut plusieurs langues pour les atteindre.
Voilà pourquoi, chacun parmi nous, en fonction de la langue qu'il
parle a un devoir d'information et devient aussitôt «Messager de
l'UPACEB». Le «Messager de l'UPACEB» étant celle ou
celui qui fait connaître l'UPACEB autour de lui, et au-delà de sa
campagne, son village, son pays et son continent. Que chacune, chacun
s'oblige à faire connaître l'UPACEB autour d'elle, autour de lui,
plus loin d'elle, plus loin de lui. Par la suite, nous verrons que
l'UPACEB n'aura aucun souci à se faire en matière de son
financement.
c)
La publicité
L'information suppose que
l'on fasse la publicité. A la seule différence que la publicité
vise à vendre, là, où, l'information s'arrête au simple niveau de
transmission d'un message. Il ne suffit pas donc d'informer les
autres au sujet de l'UPACEB, il est impératif d'en faire la
publicité. La publicité consistant à vendre un bien en vantant ses
mérites et ses qualités, il convient ici de présenter clairement
l'intérêt que représente l'UPACEB. Notamment, l'intérêt que
l'UPACEB représente pour l'intégration nationale des pays
africains, l'intégration continentale africaine, l’intégration
culturelle des PACEB répandus sur la terre, sur tous les
continents...
Assurément, c'est par la
publicité que nous convaincrons tous les PACEB et leurs alliés de
l'utilité publique et de l'intérêt général dont l'UPACEB est
porteuse.
d)
L'engagement
Il ne suffit pas d'avoir
la volonté, d'informer, et de faire la publicité. Encore, il faut
s'engager. Et c'est tout le problème.
En effet, une chose est
de s'engager, une autre est d'agir, de faire. On connaît des
personnes qui veulent devenir membre d'une association mais qui ne
font plus rien après. Or, logiquement, on est volontaire pour faire,
pour agir. On n'est pas volontaire pour être spectateur.
Donc, notre engagement
doit être résolu, il doit être ferme. De notre engagement à
réussir, dépendront non seulement le sérieux de notre mouvement,
mais aussi la constance et la régularité dans la fourniture des
moyens de fonctionnement, que nous voudrons lui consacrer. Tout est
lié. Et rien n'est séparé. La volonté, l'information, la
publicité et l'engagement sont liés. L'un ne va jamais sans
l'autre. En tout cas, pour des raisons de cohérence.
III)
Les sources de financement l'UPACEB
Les sources de financement
de l'UPACEB, qu'il s'agisse de l'UPACEB en tant qu'association Loi
1901 de la République Française, ou d'une Organisation
Continentale, Internationale et Transcontinentale sont nombreuses et
citons quelques-unes :
1)
Les PACEB : Peuples Africains de Civilisations Ébènes
Répandus en Afrique,
l'Asie, dans les deux Amériques (Latine et Amérique du nord), dans
les Caraïbes, l'Europe, le Pacifique...etc; fixons une petite
contribution égale pour tous, sans distinction de revenus, ni de ressources. Par
exemple, une cotisation mensuelle de 1 Euro ou 1 Dollar américain,
par personne majeure et faisons le calcul des recettes !
Quelqu'un a dit : «Mme
POUPIN, ce n'est pas un compte bancaire qu'il faut dans ce cas-là
mais bien une banque qu'il faut à l'UPACEB ; et je dirais même
qu'une seule banque ne suffirait pas, il en faut dix pour contenir
toutes ces recettes !»
1 Euro, ou 1 Dollar USD,
par mois de cotisation, et par ACEB ou par allié d'ACEB, se trouvant
sur toute la terre ! Jugez-en vous-mêmes !
- Les citoyens du Grand Triangle
Il a été dit dans un
précédent article : Le Grand Triangle (Europe-Afrique-Amérique)
est la première plus grande région économique au monde.
Convainquons seulement chaque citoyen majeur de cet espace à
s'engager pour la vie, à verser 1 Euro ou 1 Dollar UDS par mois et
par personne majeure pour l'Afrique et faisons le calcul.
3)
Les partenaires des PACEB
Mobilisons tous les
partenaires économiques de l'Afrique Subsaharienne, ainsi que les
partenaires des PACEB, en leur demandant de cotiser 1 Euro ou 1
Dollar UDS par mois et par personne majeure pour l'Afrique et faisons
le calcul.
IV)
Les conditions de financement
Bien entendu, qu'il s'agisse
de l'UPACEB en tant qu'association, ou de l'UPACEB en tant
qu'Organisation continentale internationale, voici les conditions de
cotisations :
- la majorité : les cotisations ne concerneront que les personnes légalement majeures.
- La quotité est fixe : elle est de 1 Euro ou 1 Dollar pour les ACEB vivant hors du continent africain, et elle est de 10 FCFA pour les ACEB vivant sur le continent africain. Quiconque voudra faire davantage de don à l'UPACEB jugera de lui-même de l'augmentation qui lui conviendra. En tout cas, chacun est libre de donner plus de cotisations que ce qui est exigé.Les autres pays ayant une autre monnaie que l'Euro, le Dollar USD et le CFA contribuera avec la monnaie de son pays, l'équivalent de 1 Euro ou 1 Dollar USD selon qu'il est en dehors du continent africain, et l'équivalent de 10 FCFA pour les Africains en dehors de la Zone CFA en Afrique.
- Le seul moyen de payement sera le payement par la voie électronique : chaque ACEB consentira librement au paiement de sa contribution de 1 Euro, 1 Dollar USD ou 10 FCFA par mois, selon son pays de résidence. Tous les mois, elle/il se connectera sur un ordinateur, payera directement sa cotisation de 1 Euro, 1 Dollar USD ou 10 FCFA (paiement paypal). Il pourra, s'il le souhaite payer ses 12 Euros ou 12 Dollars USD, 120FCFA de cotisations annuelles en une seule fois.
- Paiement sur un seul compte, dans une même banque : il y aura un seul compte bancaire à la BAD (Banque Africaine de Développement). Chaque contribuable se connectera donc directement sur le compte de l'UPACEB à la BAD, pour payer sa contribution depuis l'ordinateur, depuis son lieu (domicile, pays, continent) de résidence.
TRES IMPORTANT
Après le colloque des 25
et 26 septembre 2015 à Paris sur le projet de l'UPACEB, nous
procéderons à la légalisation de l'UPACEB en tant qu'association.
Dès que nous recevons le récépissé de la Préfecture nous
confirmant la création de l'UPACEB en tant
qu'Association Loi 1901, nous envisagerons de rencontrer le
nouveau président de la BAD, Monsieur Akinwumi
Adesina,
avant la fin de l'année 2015,
pour lui expliquer le projet de l'UPACEB, nous enquérir des
modalités d'ouverture d'un compte bancaire pour les contribuables de
l'UPACEB. Une fois les formalités remplies, toutes les informations
vous seront fournies rapidement pour que chacune, chacun commence à
participer à l'opération : « Opération
1 Euro ou 1 Dollar USD ou 10 FCFA par mois, à l'UPACEB pour le
développement de l'Afrique Subsaharienne et des PACEB (Peuples
Africains de Civilisations Ébènes et leurs alliés
».
Il
est inutile de préciser que le premier ouvrage public prioritaire de
l'UPACEB en Afrique est le
décloisonnement de l'Afrique au Sud du Sahara par le rattachement de
tous les pays à un réseau ferroviaire de Ligne de Trains à Grande
Vitesse.
Ensemble,
nous vaincrons.
Yéble
Martine-Blanche OGA épouse POUPIN
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